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Commentaire : | Entrée à la Comédie-Française en 1974 ; sociétaire de 1979 à 1984. Après des études supérieures de lettres, elle est élève de Lise Delamare et de Jean-Laurent Cochet au Conservatoire national d'Art dramatique, dont elle sort avec un second prix de Comédie moderne en juillet 1974. Elle est engagée dès le 1er octobre à la Comédie-Française, où elle interprète les grandes héroïnes du répertoire : Silvia ("Le Jeu de l'amour et du hasard", Marivaux), Célimène ("Le Misanthrope", Molière), Chimène ("Le Cid", Corneille), Camille ("On ne badine pas avec l’amour", Musset) et participe, à l'Odéon, à la création de "La Maison de Bemarda Alba" de Federico Garcia Lorca et de "La Nostalgie, camarade…" de François Billetdoux. Elle quitte la troupe en 1984 et mène depuis une carrière théâtrale variée, parallèlement à une carrière à la télévision (elle tient notamment le rôle de Reine dans la série "Une famille formidable", de 1996 à 2016) et au cinéma (elle a tourné sous la direction de Claude Lelouch, Gérard Oury ou encore Claude Miller, etc.). Elle est également comédienne de doublage et a signé plusieurs mises en scène dont celle du "Cabaret Barbara" pour la Comédie-Française en 2014 (Studio-Théâtre). |
Pays de l'auteur : | France |
Date lié a la CF (pensionnaire) : | Entre 1974 et 1979 |
Date lié a la CF (sociétaire) : | Entre 1979 et 1984 |
Distinction : | Chevalier dans l’ordre des Arts et des Lettres. |
Numéro de pensionnaire/sociétaire : | S0466 |
Profession : | Comédien·ne |
Sexe : | Femme |
Type d'engagement : | Sociétaire |
Commentaire : | Entré à la Comédie-Française en 1885 ; sociétaire en 1891 ; retraité en 1935 (doyen : 1930 - 1931) ; sociétaire honoraire en 1936. Fils d'Albert Lambert, acteur de l'Odéon, et élève de Delaunay au Conservatoire, il fait des débuts triomphaux à l'Odéon en 1883, dans "Severo Torelli" de François Coppée. Presque aussitôt engagé à la Comédie-Française, il prend possession de l'emploi des grands premiers rôles tragiques et romantiques. Beauté, prestance, voix de bronze, éternelle jeunesse, toutes ces qualités lui valent une carrière exceptionnellement longue. Son répertoire, très vaste, marqué par les rôles romantiques (il joue Ruy Blas pendant cinquante ans !), va des rôles antiques (Jason, Polyphème, Œdipe, etc.) aux créations contemporaines, plus particulièrement les fresques historico-sentimentales de François Coppée, Victorien Sardou et Henri de Bornier. Il joue aussi la comédie de mœurs, de Dumas fils à Henri Lavedan et à Paul Hervieu. Il laisse le souvenir d'un Alceste exceptionnel, mais Bajazet, Rodrigue, Hamlet, Roméo, Hernani ont aussi marqué sa carrière, qu'il termine en qualité de doyen de la Comédie-Française. Il participe, également, aux premières expériences cinématographiques du Film d’art. |
Pays de l'auteur : | France |
Date lié a la CF (pensionnaire) : | Entre 1885 et 1891 |
Date lié a la CF (sociétaire) : | Entre 1891 et 1935 |
Qualificatif auteur : | Raphaël-Albert Lambert, dit |
Information sur la naissance : | Rouen |
Information sur le décès : | Paris |
Autre nom, prénom : | Lambert, Raphaël-Albert |
Numéro de pensionnaire/sociétaire : | S0323 |
Profession : | Comédien·ne |
Sexe : | Homme |
Type d'engagement : | Sociétaire |
Commentaire : | Entré à la Comédie-Française en 1908 ; sociétaire en 1920 ; retraité en 1944 ; sociétaire honoraire en 1941. Elève de Paul Mounet, sorti du Conservatoire en 1908 avec deux premiers prix, Tragédie et Comédie, il joue "Ramuntcho" (Pierre Loti) à l'Odéon, puis entre à la Comédie-Française où il débute dans Pyrrhus ("Andromaque", Racine). Sociétaire en 1920, il prête sa haute taille et sa voix chaude aux grands héros tragiques et romantiques, aussi bien qu'aux amoureux fatals de Porto-Riche. Il interprète le rôle de Jésus dans "La Passion" d'Edmond de Haraucourt, crée "La Jalousie" de Sacha Guitry, et fait une de ses meilleures créations dans le rôle du Duc Alexandre de Médicis ("Lorenzaccio", Alfred de Musset). Avec sa femme Gabrielle Robinne, également sociétaire de la Comédie-Française, il tourne pour la firme Pathé une série de films réalisés par René Leprince. Il est l’interprète du film réalisé par André Antoine en 1921, d'après le roman de Zola, "La Terre". Contraint de s'écarter du Théâtre pendant la seconde guerre mondiale, il meurt en 1946, sans avoir pu remonter sur scène. |
Pays de l'auteur : | France |
Date lié a la CF (pensionnaire) : | Entre 1908 et 1920 |
Date lié a la CF (sociétaire) : | Entre 1920 et 1944 |
Numéro de pensionnaire/sociétaire : | S0360 |
Profession : | Metteur·euse en scène |
Sexe : | Homme |
Type d'engagement : | Sociétaire |
Commentaire : | Entrée à la Comédie-Française en 1816 ; sociétaire en 1832 ; retraitée en 1851. Elle fait deux apparitions à la Comédie-Française, dans l'emploi des ingénues en 1816 et dans celui des amoureuses en 1817, avant de faire - découragée par les rivalités - une première carrière en province et surtout à l'Odéon, où elle reste près de dix ans. Elle réintègre la Comédie-Française en 1831, toujours « ingénue » et « amoureuse », et se fait une spécialité des rôles travestis que refuse de jouer sa principale rivale, Mademoiselle Mars (Chérubin dans "Le Mariage de Figaro", Beaumarchais ; le duc d'York dans "Les Enfants d'Edouard", Casimir Delavigne). Après Casimir Delavigne, dont elle crée aussi "L'Ecole des vieillards" (1823) et "Louis XI" (1832), le répertoire romantique lui est redevable de quelques créations importantes : Blanche dans "Le roi s'amuse" (Victor Hugo), Louise dans "Les Demoiselles de Saint-Cyr" (Dumas), etc. Mais elle sait aussi se faire aimer du public dans les ingénues du répertoire : Agnès ("L’Ecole des femmes") ; Marianne ("Tartuffe") ; Henriette ("Les Femmes savantes") ; Rosine ("Le Barbier de Séville"), etc. Elle crée la Juliette du "Roméo et Juliette" de Frédéric Soulié d'après Shakespeare, et le rôle-titre dans "Louison" d'Alfred de Musset, et se retire en 1851. |
Pays de l'auteur : | France |
Date lié a la CF (pensionnaire) : | Entre 1816 et 1832 |
Date lié a la CF (sociétaire) : | Entre 1832 et 1851 |
Qualificatif auteur : | Anaïs-Pauline-Nathalie Aubert, dite Mlle |
Autre nom, prénom : | Aubert, Anaïs-Pauline-Nathalie |
Numéro de pensionnaire/sociétaire : | S0252 |
Profession : | Comédien·ne |
Sexe : | Femme |
Type d'engagement : | Sociétaire |
Commentaire : | Entré à la Comédie-Française en 1851 ; sociétaire en 1856. Elève de Michelot au Conservatoire, il remplit l'emploi des comiques, puis des « manteaux ». Après quelques années à l'Odéon, il entre en 1851 à la Comédie-Française pour doubler Provost. Ses principaux rôles : Sganarelle ("L'Ecole des maris"), Orgon ("Tartuffe"), Arnolphe ("L'Ecole des femmes"). A titre de second rôle, il participe à un certain nombre de créations contemporaines ("Murillo", Aylic-Langlé ; "Sullivan", Mélesville ; "Les Jeunes Gens", Jean-Louis Laya…). Il meurt jeune, un an et demi après sa nomination au sociétariat. |
Pays de l'auteur : | France |
Date lié a la CF (pensionnaire) : | Entre 1851 et 1856 |
Date lié a la CF (sociétaire) : | Entre 1856 et 1858 |
Qualificatif auteur : | Jean-Baptiste Eugène Bert, dit |
Autre nom, prénom : | Bert, Jean-Baptiste Eugène |
Numéro de pensionnaire/sociétaire : | S0280 |
Profession : | Comédien·ne |
Sexe : | Homme |
Type d'engagement : | Sociétaire |
Commentaire : | Entré à la Comédie-Française en 1795 ; sociétaire en 1799 (doyen de 1828 à 1830) ; retraité en 1830. La Révolution française fit un comédien de ce fils de conseiller du roi, receveur des finances, et filleul de la Du Barry : il débute aux côtés des quelques Comédiens français qui, sortis de prison après "Thermidor", donnent des représentations au Théâtre Feydeau (1795). C'est tout naturellement qu’il se retrouve sociétaire dans la troupe réunie en 1799. Il joue les petits maîtres et les amoureux, dont il tient l'emploi pendant trente ans, succédant à Fleury dans les rôles d’aimables jeunes premiers. Il forme avec Mademoiselle Mars le couple d’amoureux des pièces de Marivaux et remporte un grand succès dans le rôle d'Almaviva ("Le Barbier de Séville"). Après sa retraite de la Comédie-Française, il participe à une tournée avec Mademoiselle Mars, dont il sera l’exécuteur testamentaire. |
Pays de l'auteur : | France |
Date lié a la CF (pensionnaire) : | Entre 1795 et 1799 |
Date lié a la CF (sociétaire) : | Entre 1799 et 1830 |
Qualificatif auteur : | Armand-Benoît Roussel, dit |
Autre nom, prénom : | Roussel, Armand-Benoît |
Numéro de pensionnaire/sociétaire : | S0211 |
Profession : | Comédien·ne |
Sexe : | Homme |
Type d'engagement : | Sociétaire |
Commentaire : | Entré à la Comédie-Française en 1723 ; sociétaire en 1724 (doyen : 1759 - 1765) ; retraité en 1765. Spécialiste des « petites livrées » (Scapin, Pasquin, Crispin, etc.), sa principale qualité fut de ne pas céder à la tentation de « charger ». Crispin traditionnel, il crée le Lubin de "La Surprise de l’amour" de Marivaux, et remporte un triomphe dans "L’Ecossaise" de Voltaire, où il parodie son collègue italien Pietro Alborghetti, célèbre « Pantalon ». Il succède au dernier représentant de la dynastie des La Thorillière comme doyen de la Comédie-Française, et meurt peu de mois après sa retraite. Ses deux fils débutèrent avec succès à la Comédie-Française, mais firent carrière en province et dans des troupes privées. |
Pays de l'auteur : | France |
Date lié a la CF (pensionnaire) : | Entre 1723 et 1724 |
Date lié a la CF (sociétaire) : | Entre 1724 et 1765 |
Qualificatif auteur : | François Armand Huguet, dit |
Autre nom, prénom : | Huguet, François Armand |
Numéro de pensionnaire/sociétaire : | S0095 |
Profession : | Comédien·ne |
Sexe : | Homme |
Type d'engagement : | Sociétaire |
Commentaire : | Entré à la Comédie-Française en 1824 ; sociétaire en 1831 ; retraité en 1843. Comique de second et troisième ordre, il fait d'abord partie de la troupe constituée par Picard au Théâtre Louvois, qui deviendra à l'Odéon le Théâtre de l'Impératrice, et participe à la création du Voyage à Dieppe de Fulgence et Wafflard, un des grands succès du temps. Il joue les niais et les caricatures. Après la démission de Picard (1821), il dirige provisoirement l'Odéon, avec quelques-uns de ses camarades. Appelé à la Comédie-Française en 1824, il ajoute à son pseudonyme d'Armand son nom de famille, pour éviter toute confusion avec l'autre Armand, remporte un triomphe dans "Monsieur de Pourceaugnac", et remplit pendant 20 ans toute une série de rôles secondaires où il excelle. |
Pays de l'auteur : | France |
Date lié a la CF (pensionnaire) : | Entre 1824 et 1831 |
Date lié a la CF (sociétaire) : | Entre 1831 et 1843 |
Qualificatif auteur : | Dailly, dit |
Autre nom, prénom : | Dailly, Alexandre-Michel |
Numéro de pensionnaire/sociétaire : | S0250 |
Profession : | Comédien·ne |
Sexe : | Homme |
Type d'engagement : | Sociétaire |
Commentaire : | Entré à la Comédie-Française en 1956 ; sociétaire en 1968 ; retraité en 1977. Il entre à la Comédie-Française à sa sortie du Conservatoire, avec un premier prix de Comédie moderne. Parmi ses principaux rôles, il convient de citer, pour le répertoire classique : Bartholo ("Le Barbier de Séville") ; Sganarelle (aussi bien celui de "L’Ecole des maris" que celui du "Médecin malgré lui") ; George Dandin ; Maître Jacques ("L’Avare"), et les Scapin, Lubin, Trivelin du répertoire, de Molière à Marivaux. Dans le répertoire moderne, il joue le Jardinier d'"Electre" (Jean Giraudoux), Oncle Vania (Tchekhov), Ragueneau de "Cyrano de Bergerac" (Edmond Rostand), etc. Il participe à la création, à la Comédie-Française, du "Songe d'une nuit d'été" de Shakespeare adapté par Charles Charras (1965), de "L’Emigré de Brisbane" de Georges Schéhadé, du "Songe" de Strindberg adapté par Maurice Clavel, de "Becket" de Jean Anouilh et de "Maître Puntila et son valet Matti" de Brecht (1976). |
Pays de l'auteur : | France |
Date lié a la CF (pensionnaire) : | Entre 1956 et 1968 |
Date lié a la CF (sociétaire) : | Entre 1968 et 1977 |
Numéro de pensionnaire/sociétaire : | S0444 |
Profession : | Comédien·ne |
Sexe : | Homme |
Type d'engagement : | Sociétaire |
Commentaire : | Entré à la Comédie-Française en 1957 ; sociétaire en 1972 ; retraité en 1982. Ce tragédien a été l'élève de Julien Bertheau, puis d'André Brunot au Conservatoire, dont il est sorti en 1946. A la Comédie-Française, il aborde les grands premiers rôles tragiques (Bajazet, Pyrrhus, Maxime, Abner…) et les grands confidents (Burrhus, Théramène…). Il joue Montherlant et Claudel aussi bien que Bourdet. Hugo, Shakespeare et Musset lui permettent d'aborder le drame (Don Salluste, "Ruy Blas") et la comédie (Bridaine, "On ne badine pas avec l’amour"). Il interprète Gorgibus ("Les Précieuses ridicules"), Monsieur Diafoirus ("Le Malade imaginaire") et quelques raisonneurs du répertoire moliéresque. Parmi les auteurs contemporains, il joue Billetdoux, Anouilh, Schéhadé, et Jean Audureau ("A Memphis il est un homme d'une force prodigieuse"). |
Pays de l'auteur : | France |
Date lié a la CF (pensionnaire) : | Entre 1957 et 1970 |
Date lié a la CF (sociétaire) : | Entre 1970 et 1982 |
Numéro de pensionnaire/sociétaire : | S0447 |
Profession : | Comédien·ne |
Sexe : | Homme |
Type d'engagement : | Sociétaire |